Le projet prévoit dans sa stratégie 2 des actions de plaidoyer et de sensibilisation. Les résultats espérés sont que les organisations de société civile (OSC), les communautés locales, les réseaux nationaux de parlementaires aient les capacités requises pour participer à la réduction des impacts des infrastructures et de s’engagent à protéger les écosystèmes côtiers sensibles. De même, le projet entrevoit que le secteur privé comprend la nécessité de protéger les écosystèmes et s’engage à minimiser les impacts des infrastructures sur la zone côtière. Enfin, l’objectif est également que les Institutions étatiques soient outillées pour mieux engager les parties prenantes (OSC, communautés, secteur privé) dans un dialogue pour protéger les écosystèmes côtiers sensibles contre les impacts des infrastructures.
Afin de parvenir à ces objectifs, le PRISE prévoit de
- Former les services techniques et les cadres professionnels sur les nouvelles techniques de gestion des écosystèmes sensibles;
- Le transfert de connaissance entre les services techniques dans les pays ciblés
- Partager des expériences sur la gestion des écosystèmes sensibles entre les différents pays ciblés (ateliers, visites et entretiens techniques sur les sites, autres activités,…).
- Renforcer les capacités des techniciens nationaux sur l’utilisation des nouvelles technologies (télédétection, drônotique, caméras draps, appareils photos numériques, tablettes, GPS, jumelle Longue Portée, barques motorisées, vedettes, etc.) pour le suivi des écosystèmes sensibles dans les pays ciblés.
- Elaborer des guides de bonnes pratiques environnementales.
- Publier, diffuser, vulgariser les guides produits avec les parties prenantes dans les pays ciblés (Ateliers, documents, visites d’échanges,…).